Et moi alors, qui vous parle à longueur de billet de comment
bien manger, s’écouter, suivre son instinct et ses envies?
Comment je les ai gérés ces 4 repas de Noël moi ?
Parce qu’il ne faut pas se leurrer, je fais comme si tout était simple et évident, mais que nenni : vous
la connaissez l’histoire du cordonnier mal chaussé ? Bon, voilà, je ne
suis pas trop mal chaussée, mais peut mieux faire.
Je ne sais pas pour vous, mais je ne suis pas fâchée que la ribambelle des repas de Noel s'achève. A l'ère des familles multi décomposées/recomposées, les périodes de fêtes ressemblent souvent à un marathon de repas gargantuesques. De mon côté j'ai eu droit au Noël en famille (côté mère et côté père), celui chez belle-maman, puis chez beau-papa, les copains, les collègues, les voisins ... j'ai beau être fan de foie gras et de bon vin, le mien (de foie) pleure et je ne rêve plus que d'un smoothie fenouil/persil/citron et de Badoit, mais ça ne sera probablement pas demain soir.
Ça y est, le 24 tant attendu (ou redouté) est là, le coup d'envoi des repas festifs est bientôt donné, et si mon mot d'ordre est toujours le même (écoutez-vous : vous êtes votre meilleur régulateur de calories) il peut aussi être intéressant de savoir faire les choix les plus judicieux.
Les
fêtes de fin d’années sont imminentes, et avec elles leur cortège de plats
traditionnels qui ne brillent pas par leur légèreté : dinde farcie, foie
gras, saumon, marrons, bûches et chocolats de Noël au programme … Pas question
de faire la fine bouche et de bouder son plaisir pour garder la ligne,
mais pas question non plus de commencer 2016 en se sentant boudinée dans sa garde-robe !
A quelques semaines des fêtes, je suis chaque année sous le
coup d’une déferlante de demandes de perte de poids rapide (pour rentrer dans
la robe à sequin) avec comme date butoir, grosso modo le 24 décembre 20h (à quelques minutes près).
C’est,
semble t’il la question à la mode, les articles fleurissent sur le sujet et
leur conclusion est bien souvent que non, le sport ne ferait pas maigrir.
Pour
apporter mon grain de sable à l’édifice, je me lance donc dans ma propre
analyse de cette question (presque) existentielle.